La recette pour un système d’information aux p’tits oignons
Parler de l’accélération des évolutions technologiques est devenu un lieu commun. Quand j’étais gamin, c’était la course aux consoles de jeux vidéo ! Parmi les copains, lequel aura la plus puissante ? La réponse changeait environ tous les deux ans... Aujourd’hui ce serait plutôt tous les six mois !
Mais acceleration ne veut pas dire pour autant précipitation !!
La vie d’un système d’information est rythmée (on pourrait dire ‘agitée’) par de nombreux projets : intégration d’un nouveau logiciel, passage à une nouvelle version, mise en conformité avec les évolutions légales, etc.
Et l’entreprise ne peut pas y couper : elle doit continuellement s’adapter si elle veut rester compétitive. Elle doit donc faire face à des changements réguliers dans ses systèmes d’information.
Donc nous y voilà : à chaque évolution, il est indispensable de tester l’application et ses résultats pour en vérifier le fonctionnement. Cette étape, essentielle et nécessaire, est la phase de recette. Or ses enjeux sont souvent mal compris.
Ces phases de test sont bien intégrées dans la culture industrielle, et déroulées avec soin avant la commercialisation des produits. Et heureusement ! Imaginez que vous achetiez une voiture qui n’aurait pas passé sa phase de crash tests avant la commercialisation. Sympa : à vous de tester et de veiller à ne pas vous retrouver sur le toit au premier virage !
Ne pas faire de recette en SIRH, c’est comme laisser partir un modèle automobile sans avoir fait les crashs tests. Vous l’aurez compris : dans un projet concernant les systèmes d’information, la validation des applications est une activité tout aussi critique.
Pourtant, cette étape est bien souvent survolée, bâclée, pour des raisons budgétaires ou par manque de temps. Sous la pression des délais, une équipe projet peut avoir la tentation de réduire la recette (si elle ne la supprime pas complètement !!). Parfois, la cause provient aussi d’une mauvaise communication, ou d’une mauvaise définition des responsabilités entre les développeurs, la maîtrise d'oeuvre et la maîtrise d'ouvrage ! (Cliquez sur l'image pour agrandir)
Mais acceleration ne veut pas dire pour autant précipitation !!
La vie d’un système d’information est rythmée (on pourrait dire ‘agitée’) par de nombreux projets : intégration d’un nouveau logiciel, passage à une nouvelle version, mise en conformité avec les évolutions légales, etc.
Et l’entreprise ne peut pas y couper : elle doit continuellement s’adapter si elle veut rester compétitive. Elle doit donc faire face à des changements réguliers dans ses systèmes d’information.
Donc nous y voilà : à chaque évolution, il est indispensable de tester l’application et ses résultats pour en vérifier le fonctionnement. Cette étape, essentielle et nécessaire, est la phase de recette. Or ses enjeux sont souvent mal compris.
Ces phases de test sont bien intégrées dans la culture industrielle, et déroulées avec soin avant la commercialisation des produits. Et heureusement ! Imaginez que vous achetiez une voiture qui n’aurait pas passé sa phase de crash tests avant la commercialisation. Sympa : à vous de tester et de veiller à ne pas vous retrouver sur le toit au premier virage !
Ne pas faire de recette en SIRH, c’est comme laisser partir un modèle automobile sans avoir fait les crashs tests. Vous l’aurez compris : dans un projet concernant les systèmes d’information, la validation des applications est une activité tout aussi critique.
Pourtant, cette étape est bien souvent survolée, bâclée, pour des raisons budgétaires ou par manque de temps. Sous la pression des délais, une équipe projet peut avoir la tentation de réduire la recette (si elle ne la supprime pas complètement !!). Parfois, la cause provient aussi d’une mauvaise communication, ou d’une mauvaise définition des responsabilités entre les développeurs, la maîtrise d'oeuvre et la maîtrise d'ouvrage ! (Cliquez sur l'image pour agrandir)
Au final, le manque ou l’absence de tests peut avoir des conséquences graves : non-conformité aux besoins exprimés et produits bourrés d’anomalies ! Et le SIRH se retrouve sur le toit !!
Qui n’a jamais rencontré des problèmes avec des logiciels peu ou pas testés ?
Alors, la recette pour une bonne recette ?
Qui n’a jamais rencontré des problèmes avec des logiciels peu ou pas testés ?
Alors, la recette pour une bonne recette ?
- La mise en place d’une méthodologie de test : primordiale pour assurer la qualité d’une application à moindre coût.
- La pratique systématique de tests associés à chaque phase de développement de l’application.
- Des équipes projet déterminées, conscientes que procéder aux tests seulement à la fin du cycle de développement est risqué, et qu’une anomalie détectée tardivement sera plus difficile et coûteuse à corriger.
Sur ce, à vos marques…
Prêts…
Testez !
Prêts…
Testez !
1 commentaires:
Très claire cette recette, merci chef !
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