Joyeuses fêtes de fin d'année !


Amis lecteurs, toute l’équipe du Club EthiK vous remercie pour votre fidélité ! Nous vous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année et de bonnes vacances.

Bien-sûr, nous vous retrouverons à la rentrée avec plein de nouveaux articles. D’ailleurs, pour ne pas être pris au dépourvu, nous en avons déjà quelques-uns sous le coude ! Comme toujours, avec cette vision décalée et décontractée du management, marque de fabrique du Club EthiK. Alors à très bientôt !

Une dernière recommandation avant de nous quitter : la période des fêtes et particulièrement propice pour Jouer, Illuminer leur journée, Etre présent, et bien-sûr, Choisir son Attitude. Belle occasion, donc, pour mettre en pratique les 4 principes de la
Fish Philosophie !

P.S : A propos, de poisson, nous vous conseillons de le consommer fumé, avec une petite sauce à l’aneth, et arrosé d’un vin blanc encore jeune, Muscat d’Alsace ou Jurançon sec selon les goûts.




vendredi 17 septembre 2010

Les dix paradoxes de la créativité



Bon, c’est la rentrée, les petites vidéos sympa c’est fini, maintenant on va peut-être pouvoir passer aux choses sérieuses !!

Et là, vous serez ravi de découvrir la vidéo de ce vendredi ! Nous vous proposons en effet la conférence de Luc de Brabandere, mathématicien, philosophe et… Directeur Associé du BCG. Il est également auteur de nombreux ouvrages autour de la créativité sur lesquels nous reviendrons prochainement.


A vos créations !!

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jeudi 16 septembre 2010

Bien-être et efficacité : les ingrédients de la recette Google !



Nous vous proposons un petit retour sur la thématique du bien-être au travail, avec l’interview de Dorothée Burkel, DRH de Google France, qui nous donne quelques clés du management chez Google.

Bonjour Dorothée, Pouvez-vous nous dire quel est le rôle des managers de proximité ? Quelles doivent-être leurs compétences managériales ?

Chez Google, les managers doivent savoir avant tout partager le pouvoir. On travaille souvent à la fois en hiérarchique et en mode projet. Il est très rare de ne rapporter qu’à une seule personne. Ce mode de fonctionnement vient de l’origine de Google, où les groupes d’ingénieurs fonctionnaient en équipe plate, assez petite, en râteau.
Par définition, le manager est rarement la personne qui a la meilleure vision de ce que fait un collaborateur. D’emblée, on a donc mis en place des systèmes d’évaluation de la performance par les pairs autant que par le manager. Chaque manager évalue régulièrement les membres de son équipe mais la prise en compte des « peer feedback » est institutionnalisée. C’est le collaborateur, à chaque cycle de performance, qui propose, parmi ses pairs, les personnes qui vont l’évaluer, après validation par le manager, pour s’assurer de leur pertinence. Ces éléments sont rassemblés avant l’évaluation par le manager.
Il n’y a jamais d’évaluation totalement individuelle : un individu est toujours évalué par plusieurs.
L’évaluation est le premier signe du partage du pouvoir des managers chez Google.
Le deuxième signe se retrouve dans les décisions de recrutement. Un « comité de recrutement » de 3 à 5 personnes est créé spécialement pour chaque poste à pourvoir. Pour la décision finale chaque voix a le même poids.
Au quotidien, le manager n’a pas un rôle de « boss » mais plutôt de ressource pour son équipe. Il doit faciliter la vie de l’équipe, comprendre les obstacles à la prise de décision, faire avancer le projet, développer, rechercher d’autre ressources (temps, financière, autres personnes). C’est un relais d’information, il négocie les besoins auprès d’autre départements ou de la hiérarchie. Bien-sûr c’est lui qui donne la direction (clarifier l’objectif), donne du feedback sur la performance et sur les possibilités d’évolution.
Chez Google, le management fonctionne par influence. Il procède de la légitimité plus que de l’autorité, par apport de valeur et de motivation au managé. Un manager qui arrive chez Google, et qui s’appuie sur sa fonction ou son statut, coure le risque d’être invalidé par son équipe.
Il y a là un paradoxe car les managers ont une grande autonomie mais partagent leurs décisions sur un certain nombre de domaines. Chez Google, on ne peut pas imposer grand-chose. Il faut emmener les autres. Si on est suivi cela va loin, car il ya une forte logique de contribution chez Google. En tant que manager je peux orienter, canaliser cette contribution, mais pas la réduire.

Est-ce que la méthode Google est une barrière aux risques psycho-sociaux ?
On a parfois l’illusion chez Google de faire les choses de façons complètement justes, objectives et de façon idéale en préservant un maximum l’ego et les aspirations. Malgré tout le système génère de la frustration. Cette frustration est peut-être un peu moindre chez Google, car il y a une culture de la qualité de vie, avec maximum de ressources à la disposition des collaborateurs, mais il faut être très humble sur ce sujet.
Nous sommes attentifs aux risques psycho-sociaux, mais qu’il y ait un modèle qui permet de les éviter, je n’y crois pas. De la souffrance au travail il y en a partout. Beaucoup d’entreprises sont dans des univers concurrentiels, et même chez Google c’est très exigent.
Nous faisons donc attention et restons très vigilants. La DRH rencontre le médecin du travail et, tout en respectant le secret médical, souhaite être alerté des situations. Le dialogue fonctionne bien.

Que fait Google en matière de formation ?
Chez Google, on se forme en permanence. Nous croyons beaucoup à la formation et développons beaucoup de chose en interne, par l’intermédiaire d’un portail de formation. Parfois, pour des sujets précis, nous allons chercher les compétences à l’extérieur.
En interne, nous identifions les talents et les capacités et demandons à certaines personnes de développer des modules de formation et de les délivrer. C’est très vivant : « j’ai un savoir, ma responsabilité c’est de le transmettre ». Cela, nous le facilitons de toutes les façons possibles et imaginables. Notre parti pris, c’est que notre métier n’est celui de personne car nous l’avons inventé. Donc une offre de formation externe ne nous semble pas adaptée. Ce que nous développons en interne est très apprécié parce que très proche de la réalité.
Nous avons en interne des équipes de concepteur/formateur, et également la possibilité de mobiliser un « sachant » sur un sujet pour transmettre son savoir. Les intervenants internes sont formés et accompagnés et leur contenu est validé avant qu’ils le délivrent.
Cette manière de fonctionner découle de la culture de Google. D’ailleurs, les modes de transmissions de la formation peuvent varier en fonction des profils (ingénieurs, commerciaux, etc...)
La culture ce n’est pas l’affaire de la RH, elle appartient à tout le monde. Notre rôle, c’est d’arriver à nous effacer au bon moment !

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vendredi 10 septembre 2010

Une équipe qui sait s'amuser



Connaissez-vous le Stjarnan F.C ?

Ce club de foot évolue en première division du championnat islandais (ils ont terminé 8e à la fin de la saison précédente).

Dans ce club, les supporters attendent les buts avec beaucoup d'impatience. Normal, me direz-vous... mais figurez-vous que les autres équipes apprécient aussi de les voir marquer !

Pourquoi ? Parce que les joueurs du Stajnan F.C ont une manière particulièrement drôle et originale de fêter leurs succès. Pour chaque but, une manière nouvelle de le célébrer.

Exemple en image !

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mercredi 8 septembre 2010

Les 12 travaux d’hercule de Fernand Duchaussoy, Président de la FFF



Ouf, notre équipe de France a gagné hier soir 2-0 contre la Bosnie lors des éliminatoires de l’Euro 2012.

Ce rayon de soleil est une des premières bonne nouvelles, concernant l’équipe de France de Football, depuis le 23 juin et le « bus de la honte de Knysna ».

Depuis cette date, l’Equipe de France et l’institution dont elle dépend, la Fédération Française de Football, sont allés de Charybde en Scylla.

Pour continuer le parallèle avec l’Iliade et l’odyssée, la tache de Fernand Duchaussoy s’apparente aux 12 travaux d’Hercule.

Malheureusement, les temps ont changé. Hercule avait mis 8 ans pour réaliser les 10 premiers travaux : l’échelle temps de Fernand Duchaussoy s’établit plutôt sur un calendrier hebdomadaire.

Je vous propose donc de suivre notre saga automnale «Les 12 travaux d’Hercule de Fernand Duchaussoy», sur notre blog dans les semaines à venir, et de commencer par le premier des 12.

1er des travaux : Le Lion de Nemée n’est pas mort

Jean-Pierre Escalettes a démissionné, de son poste de Président de la Fédération Française de Football, le 2 juillet 2010.

Mais il est toujours membre du conseil Fédéral (équivalent du conseil d’administration dans les entreprises) et ce depuis 25 ans.

Après un mois de vacance du pouvoir, la Fédération Française de Football s’est doté le 23 juillet d’un nouveau Président : Fernand Duchaussoy.

Il doit traiter une première difficulté : Comment gérer d’une part, une relation d’amitié entre les deux hommes et, d’autre part, l’intérêt supérieur du football qui nécessiterait le départ du Conseil Fédéral de Jean-Pierre Escalettes ?

En clair, peut-on virer un copain sans briser une relation d’amitié qui perdure entre les deux hommes depuis des dizaines d’années? Ce qui rend la tâche d’autant plus difficile, c’est que la Fédération Française de Football n’est pas une entreprise comme les autres.

Elle est scrutée et analysée par la Presse Sportive et depuis peu par la Presse People. La moindre décision prise par Fernand Duchaussoy se trouve dans la minute qui suit sur les téléscripteurs de l’AFP et sur le web. Et les informateurs Off ne manquent pas au sein de la FFF.

Difficile donc de présider sereinement avec une telle pression.

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mardi 7 septembre 2010

La fable du vieux professeur et des cailloux



Vous venez de rentrer de vacances et, pour l'échauffement,  nous vous proposons une fable, connue certes, mais qui fait toujours du bien au moment des bonnes résolutions de la rentrée ...

Un jour, un vieux professeur fut engagé pour donner une formation sur la "gestion efficace de son temps" a un groupe de dirigeants de grosses entreprises.

Le vieux professeur n'avait qu'une heure pour « passer sa matière ».

Debout devant ce groupe d'élite, le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : « Nous allons réaliser une expérience ».

De dessous la table, il sortit un grand pot en verre qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : « Est-ce que ce pot est plein ? ». Tous répondirent : « Oui ».

« Vraiment ? ». Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gros gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?" Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit : « Probablement pas ! ».

« Bien ! », répondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table un sac de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : « Est ce que ce pot est plein ? ». Cette fois, sans hésiter et en chœur, les brillants élèves répondirent « Non ! ».

« Bien ! », répondit le vieux prof. Et il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : « Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ? ». Le plus audacieux des élevés, songeant au sujet de ce cours, répondit : « Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses a faire. ».

« Non », répondit le vieux prof.

« Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante: si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite. ». Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors : « Quels sont les gros cailloux dans votre vie ? ». « Votre santé ? » « Votre famille ? » « Vos ami(e)s ? » « Réaliser vos rêves ? » « Faire ce que vous aimez ? » « Apprendre ? » « Défendre une cause ? » « Vous Relaxer ? » « Prendre le temps... ? » « Ou... toute autre chose ? »

D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.

Maintenant, c'est à vous !!

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